«Ils sont en recherche et assemblent le squelette de leur création. Créer, c’est faire jaillir du néant, amener à la lumière. Ce n’est pas immédiat, cela requiert du temps et que nous oscillions souvent à la frontière du jour et de la nuit. Il importe parfois d’y replonger, de la porter comme s’il s’agissait d’un masque et de s’en affranchir comme on se dévêtit.»
Pierre Liebaert
Aujourd’hui et à l’avenir, nous désirons donner chair aux artistes en recherche à L’L.
Pour ce faire, nous avons confié une carte blanche à l’artiste Pierre Liebaert, premier jeune auteur-photographe à avoir exposé à L’L, en novembre 2012, sous le commissariat de Jean-Marc Bodson qui inaugurait alors son projet «Première Ligne».
Entamé à l’automne 2017, le travail de Pierre Liebaert se complètera à chaque arrivée de nouveaux chercheurs.
«Ils sont en recherche et assemblent le squelette de leur création. Créer, c’est faire jaillir du néant, amener à la lumière. Ce n’est pas immédiat, cela requiert du temps et que nous oscillions souvent à la frontière du jour et de la nuit. Il importe parfois d’y replonger, de la porter comme s’il s’agissait d’un masque et de s’en affranchir comme on se dévêtit.»
Pierre Liebaert
Aujourd’hui et à l’avenir, nous désirons donner chair aux artistes en recherche à L’L.
Pour ce faire, nous avons confié une carte blanche à l’artiste Pierre Liebaert, premier jeune auteur-photographe à avoir exposé à L’L, en novembre 2012, sous le commissariat de Jean-Marc Bodson qui inaugurait alors son projet «Première Ligne».
Entamé à l’automne 2017, le travail de Pierre Liebaert se complètera à chaque arrivée de nouveaux chercheurs.
Et pour découvrir son travail dans sa globalité: